Hésor Lebuit destin d'un homme damné

Hésor restait prostré dans ses peau de bêtes; suivant les cahuts de la route, les caravanes étaient bringballées sur une route qui n'en était pas vraiment une puisque en réalité à parole d'homme aucune créature pensante ne vivait par delà les montagnes du bord du monde. Celà faisait effectivement plusieurs jours où même semaines, Hésor ne savait plus trop, qu'il avançaient dans un déserts blanc où les seules créatures vivantes croisées étaient des varants, des serpents et des scorpions.
le Comte Lebuit, grand Naturaliste de l'Empire s'était entêté contre l'avis même de ses financiers à explorés et recencer toutes créatures vivants de l'autre coté de la montagne du bord du monde et des monts du destins! cette entreprise avait pris plus d'un an à être mis en place nottaement pour trouver une troupe d'escorte valable et sur.

la fière expédition avait vite déchanté...

Personnelement, Hésor avait réalisé depuis longtemps qu'il n'était qu'un meuble encombrant aux yeux de son père, le comte Lebuit. Ne se souciant guère du confort dû à leur rang, le comte avait constitué la caravanne descientifique et de mercenaire uniquement avec des roulottes pour moyens de transports; pas de carosses, pas pas de claèches. Hésor était coincé entre une malle pleine d'armes et une autre pleine d'instruments scientifiques. A demi-nu il était assis sous plusieurs peaux de sangliers trempées, soit disant pour le protéger de la chaleur suffocante et des maladies.
Les yeus à demi-clos il se remémorait les mésaventures que l'expédition avait subit, à la frontière une bande de pillards avaient tentés une ambuscade aidés de quelques mercenaires rebelles. Ensuite la traversée des montagnes s'était réalisé en subissant constament les assaults des goblins. Aux résultat il ne restait de l'expédition que trois caravannes avec quelques scientifiques malades ou blessés, deux mercenaires constaement ivre et le comte Lebuit menant la première caravanne, délirant sous un soleil de plomb depuis qu'il avait été blessé par une flèche goblinne empoisonnée.

Hésor fut tiré de sa somnolance par les cris rauques de son père :
- Là où meurent les Dragons, là où meurent les dragons, là où meurent les dragons; répétait'il sans cèsse.
Hésor émergea au travers de l'atmosfère suffocante et puante de la cariolle pour voir sur une coline, à un kilomètre, la carcasse de la créature la plus grosse qu'il est jamais put exister! Hésor n'en croyait pas ses yeux, il était tellment affaiblis par le manque de nourriture qu'il ne réalisa même pas que son père faisait accélérer les chevaux pourtant squeletique et à bout de forces.
Quelques secondes plus tard quand la troupe perdus atteind le sommet de l'immense dûne, le comte sauta à terre et ambrassa les os de la créature gigantesque.
Hésor s'avança entre les os, étranger aux clameurs de terreurs et de joies du reste du groupe. Arrivé sous la cage torrassique de la créature Hésor réalisa que la bête était au moins aussi grande qu'une cathédrale. Il s'avança pour voir se qui se trouvait de l'autre coté de la dûne et de son immense squelette; quelle ne fut pas sa surprise en réalisant que toute l'immensité du désert face à lui était recouvert de centaines de milliers de carcasses de monstres, formants un amalgames de colines osseuses et cornus!

Le soleil frappait les immenses carcasses de plein fouet et les os blanchis éblouissaient Hésor. Mettant ses mains devant ses yeux pour les protéger, il remarqua que l'un des orbites sur le crâne d'une carcasse brillait bizarrement, par interval régulier comme si quelqu'un manipulait un mirroir. Perdus dans son interrogation et la fièvre, il ne sentit pas l'étrange créature s'approcher de lui. Il fit un écart sur le côté plusieur seconde après que celle-ci se soit positionné à ses côtés. les pierres et le sable étant instable Hésor perdit l'équilibre et se retrouva de fait par terre regardant ébahit le grand humanoïde qui avait pris place avec lui.
Sa peau était étrangement pâle, torse nu, il ne portait que des guenilles beiges sur le bassin, les cuisses et les épaules. Il avait des cernes énormes sous les yeux qui étaient eux-mêmes d'un bleumagnifique. Ses cheuveux blanc et rares flottaient portés par le vent insessant du désert; cet homme d'un autre âge semblait faire partit du décors depuis une éternité.

Puis tournant sa tête vers Hésor il envoya rouler à ses pieds deux gros dés en os à six faces et saisissant la canne qui pendait à sa ceinture et la pointant vers Hésor il dit :
- Lances les!
sa voit était aussi tranchante et rayée que les rochers du désert. Sous l'effet de la surprise Hésor ouvrit la bouche met ne réagit pas plus que celà. l'homme leva sa canne menaçante et repeta :
- Lances les!
Hésor s'éxécuta, il saisis les dés et les jeta quelques cetimètres plus loin.
- Deux et cinq, sept, tu es chanceux humain.
Hésor regarda éberlué cet homme qui venait d'exploser de rire comme s'il avait raconté une bonne blague. Emmergeant malgré tout de ce rêve étrange Hésor tourna la tête sur sa droite afin de savoir où en était l'expédition. Horreur, ceux-ci étaient tous morts, tranchés en deux; Hésor ne s'était rendus compte de rien! Des créatures de races tout à fait diverses et opposées vidaient les bagages de la caravanes, ils étaient tous aussi famélique que le vieille home face à Hésor.
Tournant ses yeux vers lui, celui-ci lui tendit sa canne sur ses mots :
- Lèves toi jeune perdus!

Attrapant la canne et tirant sur ses muscles faibles, Hésor se releva, titubant la nausée au ventre. Les yeux rivés sur les pieds blancs de l'homme il le suivit dessendant la dûne vers l'immense cimetière de dragons.
La communauté qui accueilli Hésor n'était pas comme il l'avait pressantit au départ, composée d'une cinquantaines d'individus; mais en réalités ils se trouvaient être plusieurs centaines d'êtres vivant, venant de races et de peuples différents. Les squelettes des anciens monstre constituaient leur habitat naturel, les protégeant du soleil ardent qui brillait plus quatorzes heures par jour.
Munsénime était le nom du vieille humain qu'avait rencontré Hésor en premier lieu, dans la communauté il occupait les fonctions de sorcier docteur; son habitation était dans le bassin d'un énorme quadripode, assis sur des coussins plein de sables fait en peau, il passait beaucoup de temps à discuter avec Hésor.
- Le temps n'est pas un problème ici, il ne s'écoule pas de la manière dont tu l'entend, différement que des contrés d'où tu vienx. La totalité des créatures vivants ici sont en harmonie avec eux-mêmes et les autres; ils ont tous pris en mains leur destin pour quitter celui que leur naissance leur avait offert.